EN Juillet 2017 dans les Cahiers du Cinéma, Nicolas Stanzick écrivait : "Un lien passionnel se noue immédiatement entre les Rolling Stones et le cinéma. Il y a d'abord cette intuition décisive que l'épopée en cours ne se réduit pas à une affaire de son, fût-il celui révolutionnaire de la guitare fuzz, mais qu'il s'agit d'une onde de choc physique dont seule l'image peut rendre compte. Pour lui donner corps à l'écran les personnages sont là, leur charisme provocant, leur beauté moderne, la dualité photogénique de Mick et Keith. Et puis il y a ce jeu du chat et de la souris entre des acteurs nés et la caméra qui scrute leurs faits, gestes et paroles." En décembre 2022, au Cinématographe il parlera de cette filmographie centenaire, "qui réunit avec une diabolique cohérence les grands noms de la Nouvelle Vague et du Nouvel Hollywood."